1. |
Sous mes cheveux tempête
03:31
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Que ça fonctionne sans sabotage
Je souhaite sur nos coeurs du soleil
Je prends ton chandail en otage
Tu me tricotes des merveilles
Toi et ton sourire doux
Ta casquette sur ma tête
Et sous mes cheveux tempête
D’émotions, tourbillon flou
J’suis en amour avec l’idée
Qu’on se soit trouvé, qu’on se soit trouvé
Malgré le décor froid et bâtard
Malgré les jamais, il vaut mieux tard
Je souhaite une phase lune de miel sans penser trop
Juste des moments vécus
Mais j’«indécise» encore, un peu, beaucoup, trop
Avant qu’mon coeur ne s’avoue vaincu
Toi et ton sourire doux
Ta casquette sur ma tête
Et sous mes cheveux tempête
D’émotions, tourbillon flou
Toi et ton sourire doux
Ta casquette sur ma tête
Et sous mes cheveux tempête
D’émotions, tourbillon flou
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2. |
Summer love de novembre
04:00
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Nos yeux savent se le dire
C’est dans l’urgence qu’on se fait les plus beaux aveux
Ensemble c’est juste facile
C’est dans l’impossible qu’on s’attache autant
Mais les jours s’additionnent
J’ai peur qu’on perde le momentum
Tu n’seras que mon summer love de novembre
Tu n’seras qu’un amour d’automne qui s’envole
Et on passera trois semaines les yeux dans les yeux
Après trois semaines, j’aurai les yeux dans l’eau
T’es appelé ailleurs et je ferais pareil
J’peux pas attendre seule ici que tu reviennes
Tu vas m’manquer sans même que je sache ce que je manque
Nos jours côte à côte sont comptés, est-ce qu’on les fait compter?
Mais les jours s’additionnent
J’ai peur qu’on perde le momentum
Tu n’seras que mon summer love de novembre
Tu n’seras qu’un amour d’automne qui s’envole
Et on passera trois semaines les yeux dans les yeux
Après trois semaines, j’aurai les yeux dans l’eau
Les yeux dans l’eau
Pourquoi se perdre avant qu’on se soit trouvé
Je pleure ce qu’on n’aura jamais été
Les jours s’additionnent
J’ai peur qu’on perde le momentum
Tu n’seras que mon summer love de novembre
Tu n’seras qu’un amour d’automne qui s’envole
Et on passera trois semaines les yeux dans les yeux
Après trois semaines, j’aurai les yeux dans l’eau
Les yeux dans l’eau
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3. |
Frôler de trop près
02:49
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J'ai vu tes yeux s’assurer qu’on ne te voit pas
T’approcher de la jolie brune à la robe à pois
Elle avait dans le corps quelques verres de bière déjà
Elle avait dans le coeur aucun intérêt pour toi
Mais j’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
J’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
J’ai vu même dans le noir le malaise qui la prenait
Ta main sur son épaule, et déjà elle suffoquait
Contre ton corps sans remords tu la serrais
En silence, figée sous tes doigts, elle voulait s’enfuir de tes bras
Mais j’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
J’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
Et j’ai suivi ton corps et ton sourire en coin
Pendant que je cherchais à comprendre
Tes mains cherchaient ses seins
J’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
J’ai vu ta main frôler de trop près des courbes qui ne t’appartiennent pas
Qui ne t’appartiennent pas
Qui ne t’appartiennent pas
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4. |
Notre bateau coule
03:27
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J'vais taire les larmes les ravaler
Me sortir de la noyade dans laquelle j’me suis plongée
À la moindre bourrasque, comme une feuille je tremblerai
Tu n’sauras pas me réconforter
Je pourrais te crier tous les mots
Et tu ne comprendrais pas
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que notre barque prends l’eau,
je crains que notre bateau coule
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que mon coeur prend l’eau,
chaviré par la houle
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que je suis fatiguée de ramer pour toi
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que notre barque prend l’eau,
je crains que notre bateau coule
J’vais taire les larmes les ravaler
Me sortir de la noyade dans laquelle, j’me suis plongée
À la moindre bourrasque, comme une feuille je tremblerai
Tu n’sauras pas me réconforter
Je pourrais te crier tous les mots
Et tu ne comprendrais pas
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que notre barque prends l’eau,
je crains que notre bateau coule
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que mon coeur prend l’eau,
chaviré par la houle
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que je suis fatiguée de ramer pour toi
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que notre barque prend l’eau,
je crains que notre bateau coule
Ah ah ah ah, ouh ouh ouh
Notre bateau coule
Je ne sais pas comment te dire, mais je crois que j'ai le coeur gros
Tannée de la houle
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Claudie Létourneau Sherbrooke, Québec
Claudie Létourneau nous plonge tête première dans un univers multicolore aux mélodies toutes aussi pétillantes que son
énergie sur scène.
Groovy à souhait, sa musique au parfum d'été, ses arrangements musicaux rythmés et ses textes imagés allient audace et fragilité en un cocktail d’harmonies frissons.
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